Mehdi, Rémi, Médina et Kmar aux Cavaliers samedi 14 juin

Si vous souhaitez faire la connaissance de Mehdi, Rémi, Médina et Kmar, rendez-vous à la plage des Cavaliers samedi 14 juin au matin. Vous pourrez échanger avec eux sur leur aventure et faire la connaissance de Médina et de Kmar.

Échanger avec les habitants

Leur aventure insolite et poétique a démarré à Vic-en-Bigorre il y a deux mois pour une aventure itinérante de 400 kilomètres à travers quatre départements. L’objectif de leur projet baptisé « Sabots de Vent » : aller à la rencontre des habitants, petits et grands, pour proposer une forme originale de médiation animale. À travers des haltes dans les écoles, les maisons de retraite, les IME, les MAS ou les centres de loisirs, les deux hommes souhaitent réinterroger le lien entre l’homme et l’animal d’élevage, réveiller des souvenirs chez les aînés, susciter des rêves chez les plus jeunes.

Une halte à Anglet

Les deux aventuriers et leurs bovins ont fait une halte à Anglet cette semaine. Les résidents de l’Ehpad du Maharin comme les enfants du centre de loisirs de Baroja ont vécu une parenthèse enchantée. Les plus jeunes ont caressé, brossé, observé Medina et Kmar. Ils ont questionné Mehdi et Rémi sur leur voyage, leurs motivations, leurs plus belles rencontres. Les plus âgés, eux, ont vu ressurgir des souvenirs d’enfance ou de ferme, dans des échanges souvent empreints d’émotion.

Partager des émotions

« J’ai la chance d’avoir deux jambes, un cœur, des poumons… et l’envie de voyager. Grâce à Medina et Kmar, on partage des émotions avec les enfants, on fait revivre des souvenirs chez les aînés. Ça les stimule, ça les touche », confie Mehdi, qui a travaillé en tant qu’animateur et médiateur.

Cette démarche poétique, inspirée de Saint-Exupéry et de son Petit Prince, sert de fil rouge à cette itinérance pas comme les autres.

Rendez-vous aux Cavaliers samedi 14 juin au matin

Dernier rendez-vous angloy pour cette aventure humaine et animale : samedi 14 juin au matin, sur la plage des Cavaliers. L’occasion pour le public de vivre, lui aussi, un instant suspendu…